Nantes Métropole, territoire « Zéro déchet, Zéro Déchet »!

Intervention de Dominique le Berre, adjointe au maire de la ville de la Chapelle-sur-Erdre, conseillère métropolitaine.
Conseil métropolitain du 26 février 2016


 

Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

Participer au projet « territoires zéro déchet, zéro gaspillage» est une démarche volontaire et collective. Il doit nous permettre de réduire et de revaloriser une part maximale de nos déchets, dans une dynamique d’économie circulaire.

Notre participation à ce projet est d’abord une reconnaissance des actions engagées dans le cadre de notre plan déchets 2014-2020, mais aussi un encouragement à poursuivre nos efforts. Nous expérimenterons dans ce cadre des actions innovantes, en matière de gestion de nos déchets.

Notre politique s’articule d’abord autour de trois leviers : la réduction de la production de déchets, la garantie de l’efficience du service public et la transformation des déchets en une véritable ressource.

Et notre participation au projet « Territoire zéro gaspillage, zéro déchet » nous y aidera, notamment grâce à l’accompagnement de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie et au protocole d’accord du Contrat d’Objectifs Déchets Économie Circulaire.

Pour poursuivre, comme approfondir notre action, tout l’enjeu sera de passer de la gestion des déchets à leur valorisation. C’est à dire, d’une logique où le déchet devait être éliminé à une logique où il devient une ressource à valoriser.
Ainsi, la chaleur issue de l’incinération des déchets nous permet déjà d’alimenter en partie nos réseaux de chaleur.

Mais, la valorisation des déchets passe aussi par le développement du compostage individuel et collectif dans nos 24 communes.

Elle passe également par le dépôt, dans les déchetteries et les éco-points, des déchets trop volumineux pour être collectés en porte à porte. Nous continuons d’ailleurs de soutenir la qualité de service de ces sites, grâce à un programme d’investissement volontariste sur le mandat.

De plus, neuf déchetteries de la Métropole disposent d’un espace de don en lien avec des ressourceries, structures locales de l’économie sociale et solidaire, qui collectent des objets et leur donnent une seconde vie. Et, à ce sujet, je pense en particulier, à l’Atelier du Retz Emploi, à L’Homme Debout, ou encore à La Ressourcerie de l’Île.

Il convient aussi, bien sûr, d’adopter un comportement responsable, au quotidien, et de consommer autrement, ce, afin de réduire le gaspillage alimentaire.

Enfin, je profite aussi de l’examen de ce projet de délibération pour rappeler que cette politique nécessite un service public universel et de qualité, poursuivant un objectif d’excellence environnementale. La qualité du travail quotidien des opérateurs publics et privés de collecte est d’ailleurs reconnue par les usagers, et nous pouvons leur en être reconnaissant, au regard du travail quotidien accompli.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues, la réduction de nos déchets ne doit pas être considérée comme une contrainte. Bien au contraire ! Elle est un moyen de préserver les ressources naturelles, de réduire la pollution, et de minimiser l’impact de notre activité sur le climat. En somme, une nouvelle manière d’envisager nos rapports aux choses.

Mais, en faisant des déchets une ressource, nous développons aussi l’économie circulaire, et nous créons donc de nouveaux emplois. Car, dans notre métropole, nous associons toujours préoccupation environnementale et la question de l’emploi.

Avec le projet « Territoire zéro gaspillage, zéro déchet », comme avec la participation de l’ensemble des acteurs de notre territoire, nous parviendrons, j’en suis sûre, à réduire de 10% la production de déchets ménagers, soit une baisse de 45kg par habitant et par an.

C’est un objectif à la fois ambitieux et nécessaire, dont nous accompagnons la réalisation, au quotidien, grâce à une politique de réduction, de gestion et de valorisation des déchets exemplaire, dans le cadre de notre protocole d’accord CODEC avec l’ADEME.

Aussi, chèr-e-s collègues, je vous invite à vous prononcer en faveur de ce projet de délibération.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues,
Je vous remercie.

Plan vélo: se déplacer autrement dans la métropole

Intervention de Karine Daniel, adjointe au maire de Nantes, conseillère métropolitaine
Conseil métropolitain du 26 février 2016


Madame la présidente, mes chèr-e-s collègues,

Avec ce plan vélo pour la période 2015-2020, nous souhaitons franchir une nouvelle étape et encourager davantage sa pratique auprès des habitants de la métropole. Il convient en effet de poursuivre notre engagement et nos actions, déjà reconnus et récompensés au niveau international, comme l’atteste l’accueil du congrès mondial du vélo en 2015, Velocity. Nous devons notamment rendre les aménagements cyclables plus sécurisés, ce, afin de lever certaines appréhensions que l’on pourrait encore avoir.

Le plan vélo 2015-2020, et les 50 millions d’euros qui lui sont alloués, doit rendre la ville plus facile pour les cyclistes et s’inscrit dans notre action volontaire pour une moindre production de carbone sur le territoire métropolitain! Le vélo peut également apporter de la liberté, de l’autonomie, un élément crucial pour accéder aux services essentiels que sont la santé, l’emploi et l’éducation. Il est un élément clé pour notre nouveau modèle de société. Le vélo peut être utilisé pour tous nos déplacements domicile-travail, loisir et même pour travailler.

L’ensemble des initiatives que nous prenons avec ce plan contribue au partage de l’espace public et ainsi à l’apaisement général des circulations dans le centre-agglomération et des autres centralités de la métropole.

Car, là où se concentrent les écoles, les commerces et les services, on doit pouvoir se déplacer à pied, à vélo ou en transport en commun, rapidement, facilement et en toute sécurité. C’est ce que nous appelons la « ville des courtes distances ».

Aussi, le confort et la sécurité de nos 500 kilomètres d’aménagements cyclables seront améliorés. Nous continuerons également de développer notre réseau d’axes structurants dans la centralité, avec le prolongement de l’axe Nord-Sud. Les 200km supplémentaires d’aménagement cyclables et le réseau express intercommunal permettront d’assurer la performance des déplacements à vélo, sur des distances plus importantes.

En développant l’éco-mobilité scolaire, les parents seront encouragés à accompagner leurs enfants à vélo, à pied ou encore en trottinette à l’école. Toutes les initiatives seront les bienvenues et l’animation aura un rôle important. Car, au delà de l’objectif d’apaiser la circulation aux abords des écoles maternelles et primaires, c’est aussi donner l’envie à nos enfants et aussi à nous-mêmes de continuer la pratique du vélo à tout moment.

De même, nous continuerons d’aménager de nouveaux tronçons de la Loire à Vélo, en lien avec les orientations du débat Loire. Car, il s’agit notamment de renforcer l’attractivité de l’itinéraire en le rapprochant davantage, sur certains tronçons, de notre fleuve. Ce sera, j’en suis convaincue, une nouvelle porte d’entrée pour celles et ceux qui souhaitent visiter notre cité. Mais aussi, un nouveau prétexte de ballades et de découvertes pour les habitants de notre métropole. Le parcours la Loire à Vélo est bien un atout pour notre politique touristique et donc, un vecteur d’emplois nouveaux pour notre territoire.

Par ailleurs, ce plan prévoit la création d’une nouvelle offre de stationnement vélo sécurisé en lien avec le réseau TAN, et le développent de bicycletterie, encouragement supplémentaire à la pratique du vélo. Les bicycletteries, en pied d’immeubles permettront d’augmenter durablement les possibilités de stationnement. Et c’est une bonne nouvelle. Celles-ci viendront compléter les autres dispositifs, notamment, 6000 appuis-vélos, près de 1300 places vélos abritées et 1000 places en Véloparcs, notamment en P+R.

Enfin, un nouveau marché de vélo en libre service à l’horizon 2017, le lancement d’une nouvelle offre de location Vélo Longue Durée et le renforcement des aides financières à la mobilité durable permettront de soutenir celles et ceux qui aspirent, ponctuellement, ou durablement, à se déplacer, à vélo, au quotidien.

Mais nous n’oublions pas les dispositifs d’aide à l’équipement. Nous prévoyons, en particulier, une aide à l’achat de vélos à assistance électriques et vélos cargos ou triporteurs. Là aussi, une autre manière de se déplacer en ville, de travailler et de transporter enfants ou courses, sans carburant et sur des distances raisonnables.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues, le développement des modes actifs de mobilité n’est pas seulement une affaire d’infrastructures. C’est aussi une autre manière de penser nos déplacements, et de pérenniser cette spécificité nantaise où la conduite de chacun permet à l’autre de circuler en toute sérénité dans l’espace public.

Notre plan vélo doit ainsi contribuer, au quotidien, à faire de nos déplacements un acte responsable et contribuant à une meilleure qualité de vie dans notre éco-métropole. L’usage du vélo, chèr-e-s collègues, redessine la forme de nos villes, et contribue à l’organisation de rapports sociaux alternatifs, plus solidaires, plus attentifs à l’autre.

C’est pourquoi, j’appelle l’ensemble des élus du conseil métropolitain à voter en faveur de ce projet de délibération.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues, je vous remercie.

Habitat participatif: vivre autrement la ville

Intervention de Dominique Duclos, conseiller métropolitain, adjoint au maire de BouguenaisConseil métropolitain du 26 février 2016


Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

L’habitat participatif n’est pas un simple logement. Au contraire, il réinvente l’habitat, l’inscrit dans un cadre collectif, partagé et solidaire, intégrant même des équipements, des espaces ou des services communs. Il permet d’habiter autrement, en ville.

Ce mode d’habitat alternatif, et qui implique les futurs occupants tant dans la conception des logements (avec l’auto-construction) que dans leur gestion future, s’inscrit parfaitement dans notre projet d’une métropole solidaire, porteur de valeurs d’échanges et d’entraide.

Et, à Bouguenais, l’habitat participatif est déjà une réalité…

Avec ce projet de délibération, une dizaine de sites seront proposés afin d’expérimenter un programme d’habitat participatif, en auto-production ou via un opérateur, sur les communes de Rezé, Bouguenais et Nantes.
Et je ne doute pas que d’autres nous rejoindront, dans cette démarche innovante et solidaire.

En rendant ce mode d’habitat accessible au plus grand nombre, ces initiatives que nous accompagnons aujourd’hui s’inscrivent bien dans le cadre de notre politique de

logement abordable portée par la Métropole. D’ailleurs, je nous le rappelle, selon leur importance, les programmes pourront aussi intégrer un volet locatif social, en location-accession via le PSLA, comme des logements en accession libre.

Pour cette raison, les bailleurs sociaux, les coopératives, les entreprises de l’économie sociale et solidaire seront largement impliquées dans cette démarche. Elles apporteront leur savoir faire, leur capacité à innover et à accompagner des collectifs d’habitants, ce, à toutes les étapes d’avancement des projets.

Car l’habitat participatif n’est surtout pas un vase clos, ni un phalanstère, ni une utopie sociale. Il est une réalité, née d’une envie d’échanges et de partages des savoirs. Il est résolument participatif. Il permet la rencontre de personnes d’origines différentes, quelque soit leur âge, leur milieu social, et leur mode de vie.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues, avec l’ensemble des élus du groupe socialiste, radical, républicain et démocrate, je me réjouis de cette reconnaissance de l’habitat participatif comme un moyen de production de logements abordables.

L’habitat participatif s’inscrit bien dans notre action quotidienne en faveur de la mixité et du renforcement du lien social. Il rappelle qu’un quartier n’est pas un dortoir, il est un lieu de vie, un lieu d’échanges et de rencontres. Il peut être un lieu des solidarités du quotidien, au même titre que la famille ou les amis.

Pour ces raisons, j’invite l’ensemble des élus de ce conseil à se prononcer en faveur de ce projet de délibération, qui rappelle que notre métropole est décidément bien une cité d’initiatives, en faveur du bien-vivre-ensemble.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues, je vous remercie

Seul le prononcé fait foi.

La tarification sociale de l’eau: un progrès pour les plus démunis

Conseil métropolitain du 15 décembre 2015
Intervention de Dominique Duclos, conseiller métropolitain


Madame la présidente, cher-e-s collègues,

Ce projet de délibération s’inscrit dans le cadre de l’expérimentation nationale de la tarification sociale de l’eau. Elle nous permet d’aller plus loin encore dans notre exigence d’une métropole solidaire, d’une métropole soucieuse de la qualité de vie de ses habitants. Cette exigence se retrouve dans chacune de nos politiques publiques, dès lors qu’il est question de service public. Continuer la lecture de « La tarification sociale de l’eau: un progrès pour les plus démunis »

Bientôt la C9 pour le Sud-Loire!

Conseil métropolitain du 15 décembre 2015
Intervention de Michel Caillaud, conseiller métropolitain


Madame la présidente, cher-e-s collègues,

Comme le Tramway en son temps, puis le Busway, les lignes de Chronobus ont transformé nos mobilités métropolitaines comme les usages de notre cité. Actuellement, sept lignes de Chronobus sillonnent notre territoire, et bientôt, deux autres viendront compléter notre offre de transport urbain. Continuer la lecture de « Bientôt la C9 pour le Sud-Loire! »

Conclusions du Grand Débat Loire: place à l’action!

Intervention de Christian Couturier, Maire des Sorinières, vice-président de Nantes Métropole
Conseil métropolitain du 15 décembre 2015

Seul le prononcé fait foi.


 

Madame la présidente, cher-e-s collègues,

Le grand débat citoyen, « Nantes, la Loire et Nous » a permis à tous les habitants de notre agglomération, qu’ils soient Herblinois, Sautronnais, Carquefoliens, Indrais ou Soriniérois, experts reconnus ou simples citoyens, de réfléchir aux usages de nos cours d’eau et à la place que nous souhaitons leur accorder dans notre métropole. Ce débat leur a permis de changer le regard qu’ils portaient sur notre fleuve, comme il a renouvelé notre ambition sur la Loire et ses affluents. Continuer la lecture de « Conclusions du Grand Débat Loire: place à l’action! »

Validation de l’inventaire des zones humides et des cours d’eau de la métropole nantaise

Intervention de Jean-Claude Lemasson, Maire de Saint-Aignan-de-Grand-Lieu vice-président de Nantes Métropole
Conseil métropolitain du 19 octobre 2015


Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

Sur le territoire de Nantes Métropole, nous menons une politique ambitieuse en matière de protection, de restauration et de mise en valeur des milieux aquatiques, ce, tout en maintenant nos objectifs de développement urbain, tant dans les domaines de l’habitat que des zones d’activité économique. L’inventaire de nos zones humides participe à cet objectif.
Et je tiens d’ailleurs à féliciter le travail des services qui ont participé à ce projet.

J’avais déjà évoqué, l’an passé, certaines de nos opérations immobilières qui ont pu s’effectuer tout en préservant les cours d’eau adjacents. Je pense, en particulier, à l’éco-quartier Bottière-Chénaie bordé des Gohards, ruisseau longtemps oublié, que nous avons rendu à la ville et remis en eau.

L’inventaire des zones humides nous offre une connaissance plus précise de notre territoire, ce afin que nos aménagement s’intègrent au mieux dans notre environnement.
En répertoriant les zones humides, nous disposons d’un outil permettant d’anticiper les problématiques liées à nos projets futurs. Car, derrières nos projets urbains, il y a la question du logement, de la densification urbaine, mais aussi de l’emploi, ne l’oublions pas ! En effet, il existe des possibilités permettant de réduire l’impact de l’aménagement du périmètre ou de compenser la surface menacée.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues, les 9.500 hectares de zones humides qui ponctuent notre territoire représentent une richesse écologique et patrimoniale que nous devons préserver, c’est un fait. Et, notre politique en matière d’urbanisme est la preuve par l’exemple, jour après jour, de cet attachement à notre trame verte et bleue, que l’inventaire des zones humides et haies nous permet de maitriser précisément.

De plus, en matière d’amélioration de la vie aquatique, notre bilan est positif et nos projets à venir contribueront à faire de notre métropole une cité qui vie et qui respire, grâce à ses espaces naturels, forestiers ou aquatiques.

Ce cadre que nous préservons, au quotidien, est une richesse que nous avons reçue en héritage et que nous saurons transmettre aux générations futures. Et, il me semble que, grâce à cet inventaire des zones humides décliné dans chacun de nos PLU, nous trouvons un équilibre entre ce qui nous entoure et nos projets urbains et économiques. Aussi, comme les autres élus du groupe socialiste, radical, républicain et démocrate, je voterai en faveur de ce projet de délibération.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues,
Je vous remercie.

Adoption du schéma directeur d’accessibilité

Intervention de Catherine Piau, adjointe au Maire de Nantes, conseillère métropolitaine
Conseil métropolitain du 19 octobre 2015


Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

Dans notre métropole, nous envisageons l’accessibilité de manière globale, à destination de toutes celles et tous ceux qui empruntent chaque jour nos rues et nos transports publics. Lorsque nous parlons d’accessibilité, nous ne parlons pas uniquement des personnes en situation de handicap, nous incluons aussi les personnes âgées, celles accidentées de la vie, les enfants en bas âge, familles avec poussette…

Notre nouveau schéma directeur d’accessibilité dresse un bilan des actions réalisées depuis 2009 et contient une programmation des actions à mettre en œuvre. Il est à l’image d’une ambition métropolitaine, une cité pour chacune, pour chacun, une ville où les déplacements vers les lieux du quotidien sont aisés. Car l’accessibilité participe aussi d’une cohésion sociale pérenne. Continuer la lecture de « Adoption du schéma directeur d’accessibilité »

Aménagement des espaces publics Nord de la Gare de Nantes

Intervention de Gérard Allard, Maire de Rezé, vice-président de Nantes Métropole
Conseil métropolitain du 19 octobre 2015


Madame la présidente, cher-e-s collègues,

Repenser l’aménagement du parvis de la Gare Nord, pour que ce lieu soit partagé par tous les habitants de notre métropole, et qui est la première image que nos visiteurs venus en train retiendront de Nantes, est important. Cela participera aussi à l’attractivité de notre cité, comme elle renforcera son accessibilité. Continuer la lecture de « Aménagement des espaces publics Nord de la Gare de Nantes »

Vœu du Conseil de Nantes Métropole : ouverture des commerces le dimanche

Intervention de Michel Lucas, vice-président de Nantes Métropole, adjoint au Maire de Couëron
Conseil métropolitain du 19 octobre 2015


Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

Comme l’an dernier, et puisque les partenaires sociaux ont su, à nouveau, trouver un terrain d’entente, les élus du groupe socialiste, radical, républicain et démocrate sont favorables à l’ouverture des commerces de nos centres-villes les deux dimanches avant les fêtes de fin d’année. Continuer la lecture de « Vœu du Conseil de Nantes Métropole : ouverture des commerces le dimanche »